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notre microbiote, notre deuxième cerveau
Nathalie Glasse
Notre microbiote est fait de 3 parties : les tissus, leur immunité et leur flore.
Dans notre flore, les bactéries des organismes microscopiques qui sont nos alliées, forment de petits écosystèmes qui travaillent en synergies.
Notre corps en abrite une quantité considérable : 100.000 milliards, soit 2 kg, qui colonisent le tube digestif.
Ces bactéries amies assurent notre équilibre intestinal, mais aussi général ; On parle de flore commensale, intestinale, de défense.
En effet, ces bactéries collaborent également avec le système immunitaire intestinal pour combattre les agents pathogènes.
Le rôle du microbiote est capital. S’il n’est pas intègre, c’est la porte ouverte à la perméabilité, à la fuite des nutriments (oligoéléments, vitamines) et des polluants (flore pathogène, métaux lourds, protéines non digérées), à la non digestion de la cellulose et à l’inflammation.
Ces colonies microbiennes intestinales sont évolutives et jouent un rôle essentiel dans l’éducation du système immunitaire.
Grâce à elles, l’intestin sera capable d’une part de reconnaître et tolérer certaines bactéries utiles ou neutres pour l’organisme pour les héberger, et d’autre part, d’identifier d’autres bactéries pathogènes pour les combattre.
La dysbiose (dérèglement du microbiote) est une piste prometteuse pour comprendre l’origine de certaines maladies (inflammatoires, auto-immunes, psychologiques).
D’où, l’autre dénomination, plus récente, de l’intestin : le « deuxième cerveau » qui fait suite à notre article sur les neurotransmetteurs.
Le déséquilibre du microbiote intestinal pourrait conduire à une attitude de stress de la cellule (stress oxydatif).
La paroi laisse alors passer des fragments de débris alimentaires, de virus et de bactéries dans la circulation sanguine.
A cela s’ajoute une inflammation de faible intensité mais chronique, qui se propage peu à peu jusqu’au cerveau et modifie l’activité des neurotransmetteurs au niveau cérébral.
Il y a très souvent un parallèle entre des personnes qui dorment mal, sont stressées, et leur porosité intestinale. En effet, les Gabas, qui sont les neurotransmetteurs de l’apaisement, sont pour une partie sécrétés dans l’intestin. (Neurorelax Zen, NeuroForm Zen et Repare Zen 1 et 2).
Cette porosité agit aussi sur notre immunité intestinale, qui oscille entre faiblesse et réaction inflammatoire et dérègle notre métabolisme de dégradation des protéines.
Elle pourrait avoir une action sur la prise en charge pondérale, le métabolisme thyroïdien, nos allergies et intolérances (gluten, caséïne…).
Il est donc nécessaire de relancer non seulement l’intégrité des parois, mais aussi la défense immunitaire ciblée par différents probiotiques vivants (la plupart malgré leurs beaux chiffres ne sont que peu dosés) donc frais, et oligoéléments. (Intima Zen probiotiques flore commensale, Flora Zen probiotiques flore intestinale, 14 milliards de souches vivantes et biodisponibles).
En un bref, notre 1er et 2e cerveau ne font qu’un : en travaillant l’un, on travaille l’autre.10